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Le monde des contes est un monde contrasté qui se renouvelle sans cesse. L’exposition «La fabrique des contes», réalisée par le Musée d’ethnographie de Genève (MEG), en est un vibrant témoignage.
On croit bien connaître les contes européens, mais seule une infime partie de ces histoires anciennes nous est familière. Loin des contes très connus de Perrault et de Grimm, ce livre en présente huit, réinterprétés par l’écriture vivante et incisive de Fabrice Melquiot et illustrés par les créations originales, dessins, peintures et papiers découpés de Carll Cneut, Camille Garoche, Kalonji et Lorenzo Mattotti. Ils ne sont pas tous destinés à la jeunesse, ni porteurs d’une morale.
Dans cet ouvrage, des spécialistes explorent l’univers de ces récits et les usages ambigus qu’on leur a prêtés. Horreur, grotesque et ironie rythment leur propos qui ne manque pas de poésie ni de tendresse. Les contes habitent toujours notre imaginaire collectif et leur histoire nous permet de suivre la nôtre. Ils n’ont rien perdu de leur puissance évocatrice.
En suivant les différentes sections de l’exposition, cet ouvrage
propose une introduction au chamanisme, à la pensée animiste et à la
mythologie des sociétés amazoniennes traditionnelles.
Par la présentation d’objets rituels et de prestige, de chatoyantes
parures de plumes, d’armes de chasse et de guerre ou encore
d’instruments de musique, il illustre le raffinement des arts rituels
des Indiens d’Amazonie, en particulier le travail de la plume.
En suivant les différentes sections de l’exposition, cet ouvrage
propose une introduction au chamanisme, à la pensée animiste et à la
mythologie des sociétés amazoniennes traditionnelles.
Par la présentation d’objets rituels et de prestige, de chatoyantes
parures de plumes, d’armes de chasse et de guerre ou encore
d’instruments de musique, il illustre le raffinement des arts rituels
des Indiens d’Amazonie, en particulier le travail de la plume.
sous la direction d'Eléonore Zottos et Chantal Renevey Fry.
Avec des contributions de François Bos, Jean-Jacques Ducret, Hervé Gauville, Charles Magnin et Carmen Perrin.
Et des textes inédits de Michel Devrient, Catherine Lovey, Dominique Nogez, Brigitte Paulino-Neto, Alain Venstein et Loretta Verna
Like the Gorgon Medusa, whose decapitated head could still petrify those who met its gaze, African sculptures and masks fascinate us even out of their original context.This catalogue of the exhibition Medusa. The African Sculpture of Enchantment, curated by Boris Wastiau of the Musée d'Ethnographie de Genève, presents one hundred and twenty pieces from the museum's collection crafted with consummate skill. In an essay illustrated by magnificent photographs, he takes us throughout sub-Saharan Africa and shows us how African art can be seen as a "technology of enchantment".
With its prodigious range of art forms, India fascinates and often disconcerts people who try to pierce its mysteries. This pertinently illustrated book focuses on the close relationship between music, painting and film in northern Indian.
Classical India produced many treatises on aesthetics, expounding or commenting on the theory of the nine flavours (nava rasa), the emotions inherent in all forms of artistic expression. It was the court artists and musicians of the Mughal Empire from the sixteenth to the nineteenth centuries who developed the most refined applications of this theory, as is shown by the miniatures and musical instruments presented in the first part of this catalogue.
With its prodigious range of art forms, India fascinates and often disconcerts people who try to pierce its mysteries. This pertinently illustrated book focuses on the close relationship between music, painting and film in northern Indian.
Classical India produced many treatises on aesthetics, expounding or commenting on the theory of the nine flavours (nava rasa), the emotions inherent in all forms of artistic expression. It was the court artists and musicians of the Mughal Empire from the sixteenth to the nineteenth centuries who developed the most refined applications of this theory, as is shown by the miniatures and musical instruments presented in the first part of this catalogue.
«C'est de l'homme que j'ai à parler»: ainsi commence le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes paru en 1755. Prise pour une invitation à suivre un Jean-Jacques Rousseau anthropologue, cette phrase a donné lieu à une exposition au MEG et à cet album. De Genève aux Amériques, en passant par la Suisse et par l'Orient, le parcours nous emmène sur les traces de Rousseau, en essayant de capter ce qui, de son époque, nous parle encore.
Moins que des réponses, c'est un questionnement qui sert de fil rouge à cette exploration, en nous confrontant à l'altérité du passé. Fragilisant les frontières, le doute que cultivait Rousseau et son goût de la spéculation nous rendent disponibles aux découvertes, aux rencontres, aux fraternités. Il nous rappelle qu'il ne faut jamais confondre la connaissance avec les idées reçues au nom desquelles nous dressons de confortables palissades entre l'Autre et nous.
Comme un voyage dans une époque qui a réfléchi avant la nôtre à l'histoire de l'humanité et au destin des peuples de la Terre, ce petit livre richement illustré nous parle d'égalité et de différences et met en évidence des interrogations de Rousseau qui nous concernent toujours.
«Afrique. Les religions de l’extase» propose une introduction à la diversité des pratiques religieuses actuelles en Afrique et dans sa diaspora : du Sénégal à l’Éthiopie, de l’Égypte à l’Afrique du Sud, de Genève à Haïti !
Abondamment illustré d’images saisissantes de cultes, de pèlerinages et autres rituels, prises par des photographes renommés, Theo Eshetu, Jacques Faublée, Christian Lutz, Mohau Modisakeng, Santu Mofokeng, Fabrice Monteiro, Jean-Pierre Grandjean, Anthony Pappone, Johnathan Watts et par l’auteur Boris Wastiau, ce livre nous immerge dans les systèmes magico-religieux africains, les cultes de possession et des ancêtres, et au coeur de l’expression du christianisme et de l’islam d’aujourd’hui.
Un superbe livre illustré accompagne la nouvelle exposition temporaire du MEG, qui restitue à la fois la beauté et la valeur identitaire des pièces exposées et l’ambiance contemporaine de la scénographie.
Le monde des contes est un monde contrasté qui se renouvelle sans cesse. L’exposition «La fabrique des contes», réalisée par le Musée d’ethnographie de Genève (MEG), en est un vibrant témoignage.
On croit bien connaître les contes européens, mais seule une infime partie de ces histoires anciennes nous est familière. Loin des contes très connus de Perrault et de Grimm, ce livre en présente huit, réinterprétés par l’écriture vivante et incisive de Fabrice Melquiot et illustrés par les créations originales, dessins, peintures et papiers découpés de Carll Cneut, Camille Garoche, Kalonji et Lorenzo Mattotti. Ils ne sont pas tous destinés à la jeunesse, ni porteurs d’une morale.
Dans cet ouvrage, des spécialistes explorent l’univers de ces récits et les usages ambigus qu’on leur a prêtés. Horreur, grotesque et ironie rythment leur propos qui ne manque pas de poésie ni de tendresse. Les contes habitent toujours notre imaginaire collectif et leur histoire nous permet de suivre la nôtre. Ils n’ont rien perdu de leur puissance évocatrice.
Pass
- Accès direct aux salles d'exposition
- Billets valables jusqu'au 5 janvier 2020 inclus.
- Billets non échangeables, ni remboursables.
- Toute personne bénéficiant de la gratuité doit se présenter directement à l'Accueil du musée, munie d’un justificatif en cours de validité.